• Le féminisme de Laurie

    (TW : viol, agressions sexuelles) Un jour, un homme m’a demandé depuis quand j’étais devenue féministe. Je lui ai répondu « J’étais féministe depuis ma naissance, je ne le savais juste pas encore. » En y repensant, ça m’évoque évidemment la célèbre citation de Simone de Beauvoir : « on ne nait pas femme, on le devient », puis plus tard reprise par Julia Pietri en femmage « on ne nait pas féministe, on le devient. » Alors je n’évoquerais pas les prémisses de ce qui constitue mon existence à ce jour, mais je traiterai de ce processus dont parle bell looks de déconstruction du sexisme. Dissonance cognitive et résonance…

  • Le féminisme de Mélanie

    C´est quoi le féminisme pour moi ? C’est moi. Je ne sais pas ce que c’est. J’ai le sentiment que je ne peux pas ne pas être féministe du simple fait d’être née assignée femme à la naissance et me reconnaissant comme telle. Comment définir le féminisme ? Pour moi, c’est d’abord sentir tout ce que je transporte malgré moi dans ma condition de femme, notamment : les oppressions, les agressions sexuelles, le paternalisme, le poids des injonctions faites sur mon corps, mes émotions qui prennent trop de place, mon hyper sexualisation par la société, le lissage de ma personnalité, ne pas parler trop fort, ne pas être trop virulente, pas de violence,…

  • Le féminisme de Neuza

    Le féminisme c’est quoi pour moi? J’ai voulu résumer le plus possible, il y avait tant à dire, à chaque phrase , chaque idée, chaque souvenir, chaque réflexion, s’ouvrait une porte vers un des dizaines de pistes. Un arbre où poussent les branches à l’infini. Puis j’ai résumer à cette phrase : Une prise de conscience du besoin d’équité, entre les femmes et les hommes Cette prise de conscience à eu lieu il y a des centaines d’années, par beaucoup de femmes, qui ont lutté pour que l’on avance, que l’on ait de la liberté, puis des droits… Essayer de faire comprendre que l’on a tous à y gagner avec…

  • Mon Scepticisme

    Par Laurie Il y a quelques années, avant l’ère de désespoir de la covid-19 défiant toute interaction sociale – et on le comprend assurément – je scrutais attentivement le moindre événement en relation avec le sujet que j’étudiais alors en première année de master 1 en sociologie dans le but de m’y rendre : auteurs, conférences, livres, articles et surtout terrains. Je buvais les parole de Bernard Stiegler maintenant décédé, je me délectais du savoir de Dominique Cardon, entre fascination et appréhension. Je me sentais pousser les ailes qui m’amèneraient à côtoyer les hommes, leurs sphères prestigieuses en déblatérant sur le «sujet à la mode», controversé, à la limite du…

  • Mon scepticisme

    Par Mélanie Le scepticisme pour moi c’est l´art du doute, tout une histoire, tout un art… Savoir que l’on ne sait rien, chercher la vérité, creuser les sujets, construire des points de vue derrière les opinions héritées. Déconstruire tout ce que l’on croyait savoir, se rendre compte que l’on s’est trompée. Développer son esprit critique. Ne jamais être sûre de rien, et si ? J’ai su lire assez jeune et j’ai très vite compris le pouvoir que ça me donnait dans la compréhension du monde. Je me souviens précisément de ma première extase intellectuelle, si je puis la nommer ainsi. Vers le CE1, j’ai reçu mon premier dictionnaire papier pour enfant,…

  • Le scepticisme

    Par Neuza Sermain Mon monde et ses contradictions, mon monde de transitions…A première vue je pensais savoir ce que c’était, et lorsque j’ai lu l’opportunité de témoigner, sur ce que le scepticisme était pour moi, j’ai commencé à me faire mon texte dans ma tête, puis j’ai demander l’avis de quelqu’un, qui me remis en question sur ce qu’était le scepticisme, j’ai lemari idéal pour ça, c’est certain.Comme le doute fait constamment partie de toutes mes réflexions, j’ai couru faire un tas de recherches et je me suis perdue dans les textes, et les explications, parce que rechercher n’est pas si simple, trouver les bonnes informations, les comprendre, être capable…